Dès le matin, la priorité est de savoir quand je dois partir pour rejoindre Asuncion et par quel moyen. Étant donné qu'il y a urgence pour mon passeport et qu'il doit y avoir 250 km à parcourir, j'opte pour le "collectivos", le grand bus. Et c'est au moment de réserver le billet que je fais la super sympathique connaissance de Jorge, de son frère et de sa cousine Marta.
Jorge est le responsable de la station. Avec Maria, un amour de fille, qui m'aide, surveille mes bagages jusqu'au moment de partir, j'ai droit à une invitation en famille dans une jolie maison où il fait bon vivre. Le marché perpétuel est en face, voire autour du complexe à autobus. Des centaines de magasins ambulants ou pas.
Je suis très intéressé par le thermos à téréré aux couleurs du Paraguay . Le drapeau bleu, blanc, rouge, mais à l'horizontal.
Mon guide et ami m'aide à emballer le super souvenir avec, dedans, l'herbe à maté et deux bombillas, sorte de cuillère creuse avec des petits trous qui ne laissent passer que le liquide. Une belle invention.
Ensuite, repas en famille avec la maman de Gloria et leur fille Liban. Un régal. Les légumes, la viande, le melon en dessert avec les bananes..
L'après-midi, visite de la ville en calèche.
Négociation du prix. L'argument du chauffeur est que si c'est plus cher que le dit le livre , c'est parce que le cheval a d'avantage faim qu'avant! À cela je réponds que travail ou pas il faudra bien le nourrir. On coupe la mangue en deux et c'est parti pour la visite en karumbé, tortue en guarana. Auñ est fier de sa ville et de son pays, et il peut..
enfin tu es dans le vif du sujet ... soit fort et en règle !!!
RépondreSupprimerbon courage pour la suite !
le vingt coeurs de taizé !