33 degrés au compteur, heureusement un p'tit vent vient me décoiffer. Encore un coup de soleil. Le pont San Antonio, la plage, les coins d'ombre pourtant nombreux sont squattés. Farniente, une bière, je regarde ces derniers jours de chaleur s'écouler tranquillement, recherche même l'ennui pour trouver le temps un peu plus long...en vain. Condamné à apprécier chaque moment, je m'amuse à laisser deviner ma nationalité aux gens avec qui je discute. Tout à l'heure j'étais italien, souvent américain, parfois allemand mais jamais suédois, sans doute trop petit...
Demain je rentre à Buenos Aires, j'ai une petite enquête postale à mener...
Ah! Information de dernière minute, après discussion avec un couple de Rosario, rendez-vous est pris pour ce soir 23h , la kika. Je n'ai pas tout compris mais d'après eux ça va me plaire... l'aventure est au coin de la rue, encore faut il sortir de chez soi...coucher à pas d'heure, heureusement le bus pour Buenos-Aires est à midi...
manquerai plus que ça qui te prenne pour un slave ....c'est zlatanesque !!! mais c'est ton teint buriné qui te trahi ... quelques jours au pays et tu reprendras ta couleur postale ! merci pour les très belles photos mais toujours rien à chopper .... vivement le brésil !!!
RépondreSupprimerenfin du grain à moudre pour le vague mestre !!!!
RépondreSupprimerEt encore, il y a de la censure, le fameux droit à l'image....
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