San Pedro de Atacama- Antofagasta

Aucun regret pour ce qui est du trajet en bus reliant ces deux villes. Une seule grande voie, dans un désert de poussière , longeant la première ligne de chemin de fer vue des mes yeux en Amérique du Sud, servant au transport de salpêtre, cuivre et acide sulfurique et j'allais oublier d'argent.

Exploitation mine de cuivre
 

Si, quand même, je j'aurais donc pas ,dans mon panier à souvenir, les geysers. Pour les paysages lunaires, j'ai eu ma part...
Antofagasta, grosse ville du Nord du Chili. Peu appréciée dans les livres, j'y ai trouvé une bonne ambiance

 

 

 

 Les gens sont encore capable de chanter dans une file d'attente. Quelques monuments plutôt réussis d'inspiration européenne, une grande place avec palmiers et quelques cadeaux offert par les espagnols, une statue offerte par la colonie espagnole,

 

 un joli kiosque à musique à deux niveaux offert par la communauté slave

et la Torrent dél Reloj, réplique de Big Ben , la tour du palais de Westminster dont la cloche principale produit les mêmes notes avec quatre petites cloches qui sonnent tous les quart d'heure.

 Un port de pêche où la gouaille des pêcheurs tient du spectacle.

Otarie
 

Un énorme centre commercial, une activité croissante et surtout l'Océan Pacifique avec des vagues à windsurf.

 

 

 

Quand même un peu de vélo, une quarantaine version légère pour aller photographier la Portada, Arc de Triomphe naturel à la gloire de Poséidon, de plus de 43 mètres de hauteur. Eux aussi ont leur Bonifacio...

Au retour, une sympathique rencontre avec Caroline de Santiago et Marie du Canada.

Pas très chaud pour 400 km de désert avec des camions  qui frôlent dangereusement, quelques blogs et certaines voix supérieures m'encouragent à prendre un bus pour aller à Taltal, je signe des deux mains. 1400 km avant Santiago, j'ai le temps de manger quelques km pas aussi faciles que je m'imaginais.